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  •  NOUVEAU ! (sort le 13 mai 2022)

  • "LEPETIT CAMPAGNARD"

    
    L'auteur ouvre son cœur pour témoigner et rendre hommage à la vie familiale au Breuil... 
  

  • Mystère au pont de la GabieRoman PolicierSuspense garanti !
  • Cet ouvrage a reçu le prix "Saint-Martin suspense" 2021! Il vient d'être réédité. 
    Je serai présent au Salon Nature de St-Priest-sous-Aixe le 15 mai prochain avec notamment ces deux derniers ouvrages.


         Contre toute attente, la Directrice de Cabinet du Préfet de Région Sarah Garbi ne se présente pas à son poste par un beau matin de Juin. Son absence se prolongeant sans raisons apparentes fait naître les hypothèses les plus pessimistes.


          Des indices troublants vont vite orienter les recherches vers le Pont de la Gabie, ouvrage qui franchit la Vienne, à l’ouest de limoges.

          Une vive émotion se répand dans l’Hexagone et au Maghreb, Sarah Garbi étant la fille d’un ex-ambassadeur de Tunisie en France.

          La Gendarmerie se mobilise avec des moyens renforcés, mais elle doit céder la main au Service Interrégional de Police Judiciaire d’Orléans.

          Le Commissaire Dufour, grand responsable de l’enquête, va hériter d’un dossier très complexe et hypersensible.

          Pourra-t-il, grâce à ses méthodes particulières non exemptes d’humanité, surmonter les obstacles hostiles à la découverte de la vérité ?
            
320 pages 11 illustrations







EXTRAITS NOTRE VILLAGE


Avant-propos



Ils ont osé !

Ils ont détruit le haut de mon village !

Qui « Ils » ?

Eh bien, les pouvoirs publics. Pour lesquels ont œuvré, avec zèle et soumission devant les exigences du progrès, les techniciens et ingénieurs des Ponts et Chaussées.

Ce service, créé en 1716, s’est acquitté avec conscience de la construction et de l'entretien des grandes infrastructures de transport. Dans ce cadre, il disposait des outils juridiques pour faire prévaloir « l’intérêt général sur les intérêts particuliers ». A telle enseigne qu’il a été fréquemment suspecté, par les contraintes « technocratiques » qu’il imposait, de faire fi de toute considération économique ainsi que de tout respect de l’environnement.

Or, j’ai moi-même largement contribué, tout au long de ma carrière professionnelle, à asseoir cette suprématie avec comme justification « l’intérêt public ».

Je devrais donc être considéré comme complice, car, appartenant à la même corporation, j’ai agi de façon similaire sur le territoire dont j’avais la charge, avec la même détermination.

Et maintenant, à chaque fois que j’emprunte les bretelles de la voie à caractéristiques autoroutières, je me dis avec un pincement au cœur :

 « A cet endroit se situait l’auberge avec son ambiance si accueillante du temps de mon adolescence et de celui de mon entrée dans l’âge adulte. Là, offrant sa façade colorée au carrefour, s’élevait l’hôtel restaurant, d'une petite taille certes, mais dont le patron      - en réalité un cousin - racontait souvent de « belles » blagues. Ici se trouvait la forge, creuset de vie sonore s’il en est, endroit obligé mais convivial de « passage » de tous les agriculteurs environnants pour, entre autres, régénérer les socs de charrues. En ce lieu plein d’entrain, se sont succédé, aussi, des générations de cousins.

Nous étions donc, dans cette partie de hameau, une grande famille, à laquelle appartenaient à part entière les aubergistes, offrant leur exceptionnelle attention destinée à se sentir vraiment chez soi.



Alors, ces clichés de la vie d’antan, incrustés à jamais dans ma mémoire, ressurgissent d’instinct quand je quitte cette « autoroute » froide et impersonnelle pour me livrer à ces échangeurs tristes et convenus. Ceux-ci sont bien les vrais responsables de la disparition de ce cadre villageois à l’âme que je chérissais.

Le cliché supérieur de la couverture de ce livre se veut très explicite à cet égard. Il montre cette partie d’agglomération dans les années soixante-dix. Le flou « artistique » de cette photo lui confère avec bonheur, me semble-t-il, un caractère mystérieux qui sied bien aux souvenirs et sentiments jalousement gardés jusque-là. On remarque bien cependant l’enseigne « Mobil » balisant le poste d’essence. De l’autre côté se trouvait l’auberge, le bâtiment bas derrière le transformateur d’époque étant la salle de bal. Là même où se sont déroulés le repas et la soirée de mon propre mariage !



Mais…, trêve de souvenirs, car une voix peut marteler :

« Vous aussi vous succombez à la tentation du retour dans le passé, à la lâcheté de vous réfugier dans cette vision d’un autre âge pour revivre « le bon vieux temps ». Vous niez ainsi toute évolution heureuse de la condition humaine générée par le progrès dans tous les domaines. »

J’avoue que ce « rappel à la raison » m’offusque et m’embarrasse à la fois.

D'abord, je réagis :

Serais-je le seul à entrer dans le « confort » de la nostalgie ? Après tout, revivre le passé c’est aussi et surtout rendre hommage à nos aînés, aujourd’hui disparus. C’est bien grâce à eux, à leur travail acharné dans un métier vénéré, à leur affection, à l’éducation prodiguée, à leur exemple, que nous pouvons apprécier de nos jours le bien-être dans lequel nous baignons.

Pourquoi aussi ne pas faire référence à Anatole France dans « La vie en fleur » (1922) :

« Le passé c'est notre seule promenade et le seul lieu où nous puissions échapper à nos ennuis quotidiens, à nos misères, à nous-mêmes. Le présent est aride et trouble, l'avenir est caché ».

Seulement, voilà : nous devons vivre avec le présent et conserver confiance en l’avenir pour nos enfants et les générations futures. Je dois donc modérer ma vision par trop passéiste.

Dans le cas présent, ce village, en fait, ne m’ap-partient pas plus qu’à d’autres et je ne saurais me satis-faire de mes seuls sentiments de regrets, en regard de la disparition du cadre gai et stimulant de sa partie active.

 Ma propre mémoire, sélective, ne restitue que partiellement et subjectivement les événements en ce lieu qui ont marqué notre enfance, notre adolescence, mais aussi, pour certains, tout un pan conséquent de leur vie.

Je viens d’écrire « notre » à deux reprises. En voici la raison : nous étions (et certains encore) plusieurs copains et copines à habiter ce hameau.

Alors, alors, je crois détenir la clé pour lever mes doutes et mes hésitations.

 Pourquoi ne pas associer mes anciens compagnons à la réalisation de ce livre pour, non seulement faire revivre largement le passé de ce village, mais aussi aborder ce havre de paix de campagne où il fait encore si bon vivre ?

 Pourquoi ne pas adjoindre aux visions et histoires pittoresques d’antan une évocation de la vie d’aujourd’hui ?

C’est dans cet esprit que j’ai voulu que le second cliché de couverture révèle une partie du village telle qu’elle se présente de nos jours. Très édifiant et encourageant, il me semble...

 

Dès lors, j’ai lancé l’invitation :

« Mes copains, mes camarades, j’ai besoin de vous. Je veux bien mettre en musique le village du Breuil d’hier et d’aujourd’hui, mais je me sens incapable d’en écrire seul la partition. Je compte sur chacun de vous et, naturellement, si vous le souhaitez, je mentionnerai bien volontiers mes références »



°



°              °



         Alors ils sont venus ! Ils étaient tous là, ou presque - je pense particulièrement à Raymond durement empêché par sa maladie et à Colette -. Ils ont répondu spontanément présents et, autour de l’accueillante table généreusement mise à notre disposition par Jeanine, nous avons, à bâtons rompus, vécu intensément une séquence nourrie de souvenirs et de sentiments personnels.

         Après-midi inoubliable. Il y avait là des anciens, mais aussi des « témoins » plus jeunes et moins marqués par « l’amputation » du hameau. Cette diversité dans le temps, qui s’étale en fait sur une génération, a conduit à tempérer les conséquences de la disparition du haut du village, ressentie ici ou là, très durement. Car, au-delà par moments d’une émotion légitime palpable, émergeait un panégyrique nourri de scènes d’autrefois faisant plus que réchauffer les cœurs.

         En effet, se trouvaient oubliés pour un temps les soucis et les épreuves - parfois cruelles -, subies au cours de l’existence. Ne se livraient sans retenue, faisant fi de toute considération d’apparence physique, sociale ou autre, que des visages rayonnants, heureux de libérer leur mémoire intarissable...



Oui, sans conteste, le hameau du Breuil mérite bien la parution d’un livre et chacun se montre bien décidé à s’y employer...

      Aussi, de multiples échanges se sont-ils avérés nécessaires pour le mettre au point afin de lui conférer une réelle attractivité, grâce à cette volonté de relater l’histoire de notre village, agrémentée de scènes où l’humour et la dérision foisonnent.

         Il s’agit d’une œuvre collective et donc, tout au long de cet ouvrage, le « je » n’apparaîtra plus en règle générale. Il laissera la place au « nous » avec utilisation des prénoms pour bien mentionner la part déterminante apportée par chacun.

Toutefois, l’emploi des guillemets permettra de retranscrire à la première personne, saisis dans le vif lors des rencontres, les propos et les réflexions spontanées, les souvenirs heureux ou malheureux ainsi que les « histoires » croustillantes qui feront rêver avec délice, j’en suis sûr, les esprits d’aujourd’hui

         De cette œuvre voulue en commun, sous forme d’hommage, il est espéré un accueil plus que favorable. Et qu’il soit permis de penser que le lecteur, parvenu au terme de son parcours, pourra assurément déclarer :



« Ils ont bien rendu hommage à leur village »



« Ils ont osé ! »

          

                                     Jacques René Fournier



MES AUTRES LIVRES


SOMMAIRE DES LIVRES

              Les Témoignades

LES DEUX JEAN - DEFI A LA SOCIETE  D'AUJOURD'HUI (Livre I)
       270 pages, 6 illustrations, 15€
                Témoignages de l’auteur sur son enfance,  sur l’apprentissage de la vie et sur…les limites   humaines ! L’ensemble est placé sous le contrôle  et l’expérience de ses deux aïeux, « les deux Jean »,   eux-mêmes anciens « poilus » et toujours « vivants »  pour la circonstance.
             Cet ouvrage a nécessité une réimpression.
UNE VIE SANS DIEU ?- PAR FOI, RITES ET RENIEMENTS (Livre II)

212 pages, 9 illustrations, 18€
              Suite des « deux Jean », ce livre passe en revue,  tout au long de l’existence, des épisodes vécus,  parfois romancés, parsemés d’histoires cocasses,  tout en  laissant la place à la réflexion et à des   prises de position sur des sujets qui passionnent   de nos jours.
           Pour large public, quelles que soient les convictions de chacun.
 LA BOULE MAGIQUE – Ô TOI MON LIMOUSIN  ! (Livre III)
  208 pages, 9 illustrations, 18€
             Ce livre, au scénario surprenant, rend, en fait,   un chaleureux hommage  au pays natal, le Limousin.  Véritable point d'orgue de  la trilogie, après "Les  deux Jean" et "Une vie sans Dieu", ce roman se  termine par  un vibrant cri du cœur. Un régal !
              De bons moments de lecture en perspective.
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    Le Chat sauvage    
 MYSTERE DANS LES ALBERES

310 pages, 9 illustrations, 15€

    Avec son quatrième livre, Jacques René Fournier, l’auteur de la trilogie limousine «LES TEMOIGNADES », présente un ouvrage absolument captivant promis à un grand succès.
 Le chat sauvage,  premier vrai roman de cet écrivain limousin, qui vient de sortir aux éditions du Feuillard, est une énigme policière et sentimentale passionnante qui tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page.
 « Mais j’ai voulu aussi montrer dans Le chat sauvage, nous dit Jacques René Fournier, ce que l’homme, au travers des épreuves qui peuvent l’accabler dans la vie, peut apporter de meilleur : l’amitié, l’amour, le respect et la considération pour ses semblables. En somme il s’agit aussi d’un réconfort tourné vers l’espérance dans une société parfois si difficile à vivre... »
 Et c’est un fait qu’il y a réussi. Le chat sauvage, au-delà du fort mystère qui s’épaissit en raison des nombreux rebondissements se faisant jour, dévoile un riche contexte émotionnel : étude des caractères, des comportements des acteurs évoluant dans des paysages et situations exceptionnels.
 L’énigme naît dans le massif des Albères dans le Roussillon, alors qu’une famille Irlandaise passe ses vacances dans cette région éminemment touristique. La résonnance médiatique de ce fait divers devient internationale, l’affaire fait grand bruit tant en France qu’en Irlande. 
Ecrit dans un style simple et clair, nul doute que Le chat sauvage entre dans  la catégorie des meilleurs polars.

AMELIE      

                                                      264 pages,  15€

    Avec son ciquième livre, Jacques René Fournier, publie un nouvel ouvrage non moins captivant.
 Amélie, deuxième roman de cet écrivain limousin, paru aux éditions du Feuillard, emmène le lecteur dans une intrigue qui ne fait que s’affermir jusqu’à l’ultime para-graphe. Mais Jacques René Fournier précise :
 « J’ai voulu aussi dans Amélie, au-delà de l'histoire et de l'intrigue, mettre en exergue tout ce qui sous-tend ce roman : l'atmosphère villageoise juste après la fin de la seconde guerre mondiale, les coutumes de l’époque, l'inexorable désir d'émancipation des générations montantes, l'évolution avec le niveau de vie des conditions d'exercice des métiers suite aux progrès fulgurants des sciences et des techniques, la libération des mœurs, les conflits de génération  en découlant. Au total, Amélie et ses contemporains nous entraînent dans une des tranches de vie les plus évolutives du vingtième siècle… »
 Et c’est un fait qu’Amélie dévoile un riche contexte émotionnel : étude des caractères, des comportements des acteurs évoluant en pleine mutation de la société.
 L’histoire commence par l’intrusion, avec sa mère, d’une mystérieuse sauvageonne dans un village méfiant de l’après-guerre. Puis se mêlent des événements tant prévus qu’imprévus propres à poser de fortes interrogations donnant de la consistance à l’énigme jusqu’à et y compris l’épilogue.
 Amélie   passionne autant que "Le chat sauvage" ! 3ème prix des Pages Libres du Limousin.              
ORCHIDEE      
 
                                                                                     260 pages,  15€

    Avec son sixième livre, Jacques René Fournier, publie la suite d'Amélie réclamée avec insistance !
 
Orchidée est le sixième livre de Jacques René Fournier, auteur de la trilogie limousine « LES TEMOIGNADES » et des énigmes policières et sentimentales « LE CHAT SAUVAGE et  AMELIE ».Mais le romancier précise :
         « Dans Orchidée j'ai observé le même cheminement que dans Amélie. Cet ouvrage est d'ailleurs annoncé comme en étant la suite, même s'il peut être lu séparément.
         En effet, au delà de l'histoire et de l'intrigue, j'ai voulu dans Orchidée mettre l'accent sur cette période charnière, de la fin du vingtième début du vingt-et-unième siècle riche en évolutions de tous ordres. Je citerai entre autres : la banalisation de la libération des mœurs, des modes de vie, avec l'apparition de cas de conscience suite aux efforts déployés pour faire tomber certains tabous à la vie dure, la pénétration obligée dans tous les secteurs des automatismes, de l'électronique de l'informatique avec parfois les revanches terribles de ce progrès fulgurant ».
         De fait, les caractères et comportement très divers des personnages prennent toute leur saveur dans une société qui déploie ses exigences sans concessions.
         L’histoire commence par l’entrée dans le foyer d’Amélie et Pierre d’un bébé vietnamien qui comble le couple. Hélas, ce bonheur va être terni par les aléas de l’existence car les parents devront faire face à des situations imprévues, délicates et parfois tragiques. De plus l’évolution déroutante des mœurs s’invite en cette période charnière, fin du 20ème et début du 21ème siècle.
         Mais comment ne pas voir, sous-jacent dans Orchidée œuvre romanesque, le besoin de vérité, ressenti par les personnages, consistant à se tourner vers les autres avec l’acceptation de leur diversité et de leur différence ?
         En résumé, un roman très riche en symboles forts appelés à rendre plus « douce » la vie dans la société d’aujourd’hui.

NOTRE VILLAGE

  312 pages,  43 illustrations 20€

Notre village est le septième livre de Jacques René Fournier, auteur de la trilogie limousine « LES TEMOIGNADES » et des énigmes policières et sentimentales « LE CHAT SAUVAGE,  AMELIE et ORCHIDEE ».
 Mais cet ouvrage revêt une importante et un caractère particuliers ; l’auteur précise :
 « Notre village est une œuvre voulue en commun car 12 de mes compagnes et compagnons originaires du même hameau, « Le Breuil »,  ont spontanément accepté de m’accompagner pour le faire revivre. Alors, emportés par un enthousiasme collectif, nous avons ressuscité l’hôtel restaurant, l’auberge, le maréchal-ferrant, le poste à essence, la cabine téléphonique… emportés par l’appétit vorace de l’automobile… »
       De fait, le livre est original, surprenant, cocasse mais aussi émouvant et parfois instructif. Cependant attention ! Malgré l’apparence, on ne plonge pas à outrance dans la nostalgie, cette tentation de se réfugier dans la vision d’un autre âge pour simplement faire revivre « le bon vieux temps ».
 Non, Jacques René Fournier et ses camarades font bien largement un retour dans le passé, mais « Notre village» d’aujourd’hui n’a pas été oublié. Ecoutons encore l’auteur :
 « Si riche et si passionnant que soit son vécu, l’âme du Breuil, en intégrant une saine nostalgie, perdure avec bonheur dans un renouvellement harmonieux. »
 Ainsi cette histoire se veut-elle un hommage rendu à tous les villages de nos campagnes qui, depuis des siècles, constituent la trame vivante et fertile de notre nation.
 Ce livre est édité le concours des PAGES LIBRES DU LIMOUSIN.

QUI EST L'AUTEUR


QUI EST L'AUTEUR ?



Jacques René Fournier est un écrivain limousin fier de ses origines locales remontant au moins à dix générations.
Né avant la deuxième guerre mondiale, à la campagne, dans un foyer modeste, l'auteur a grandi dans un milieu familial "très riche" où l'affection, l'éducation et l'exemple prévalaient sur toute autre considération.
Titulaire d'un simple diplôme, mais combien précieux, d'une école professionnelle, il va, grâce au sens de l'effort inculqué dès son plus jeune âge, utiliser l'ascenseur social.
Les emplois très diversifiés qu'il a occupés en qualité de technicien puis d'ingénieur dans un grand service de l'état, avec une orientation sociale en fin de carrière, lui ont permis d'élargir son champ de vision et de nourrir ses réflexions sur la vie et la société.
   Adhérent de l'Association des Pages Libres du Limousin" Jacques René Fournier est également membre de l'Association  des Ecrivains Catholiques de langue française.
Depuis novembre 2015 il assume les fonctions de Président des Pages Libres du LIMOUSIN.
Il est l'auteur d'une trilogie limousine "LES TEMOIGNADES", large fresque du monde d'hier et de son évolution jusqu'à aujourd'hui, qui allie, dans un style clair, narrations et anecdotes souvent croustillantes ! Trois livres totalisant près de 700 pages appréciés bien au-delà de sa région...
Mais l'attachement et la fidélité qu'il voue au Roussillon - et plus particulièrement à Argelès-sur-Mer - depuis des dizaines d'années l'ont conduit très récemment à consacrer un grand roman à cette région : "Le chat sauvage-Mystère dans les Albères".
Le grand succès de cette intrigue, notamment sur la Côte Vermeille, a conduit Jacques René Fournier à publier un second roman "AMELIE" puis sa suite "ORCHIDEE"dont les énigmes, surprenantes, pourraient mettre en émoi n'importe quel village de France et bien sûr du Limousin.
Bientôt paraitra : "Notre village", la vie passionnante d'hier et d'aujourd'hui du hameau du "Breuil".


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                      POUR LES LIRE 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           
  Les deux Jean, Une vie sans Dieu?, La boule magique, Le chat sauvage, Amélie, Orchidée    

        Ces six livres, trois essais et trois romans, sont diffusés par les Editions du Feuillard.

        Leur prix varient de 15 à 18 Euros.
 
Il peuvent être retirés chez l'auteur 9 rue Léonard de Vinci à Limoges. Tél : 05 55 50 33 93 - mail : jacnier@wanadoo.fr.
        L'envoi est possible partout en France moyennant un supplément de 3 €.
      
 Il sont disponibles à Limoges :
  
- A la librairie "Page et plume" 4 place de la Motte.    
- A "Hyper U" au rayon librairie, Centre Commercial de Corgnac.
- A "l'Espace Culturel Leclerc" rue Henri Giffard.
- A la "Maison de la Presse" 5 place Fournier.        On peut les trouver aussi à Verneuil sur Vienne au "Floréal". 

Genèse

Site démarré le 10 novembre 2016
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